Les Disparus du Clairdelune (La Passe Miroir #2) de Christelle Dabos

Edition : Gallimard Jeunesse

550 pages

4ème de couverture : 
Fraîchement promue vice-conteuse, Ophélie découvre à ses dépens les haines et les complots qui couvent sous les plafonds dorés de la Citacielle. Dans cette situation toujours plus périlleuse, peut-elle seulement compter sur Thorn, son énigmatique fiancé ? Et que signifient les mystérieuses disparitions de personnalités influentes à la cour ? Ophélie se trouve impliquée malgré elle dans une enquête qui l’entraînera au-delà des illusions du Pôle, au cœur d'une redoutable vérité.






Mon ressenti : 
Autant il m'avait fallu du temps à entrer dans le premier tome, autant ce deuxième tome nous plonge directement dans l'intrigue. On reprend exactement là où nous avions laissé Ophélie et l'action ne s'arrête plus jusqu'à la dernière ligne. 
Je reprochais au premier tome quelques longueurs nécessaires à la mise en place de l'histoire. Ici, c'est tout l'inverse. Tout s'enchaîne parfaitement, l'enquête est passionnante, les rebondissements nous surprennent à chaque fois.

La plume de l'auteure est toujours aussi magique. C'est fluide et addictif tout en étant recherché. 

L'univers est toujours aussi incroyable et surtout tellement maîtrisé, tout est extrêmement bien pensé, dans le moindre détail. Et on nous promet encore de belles découvertes à venir.

Les personnages évoluent, Ophélie devient une battante, Thorn se dévoile peu à peu (pour notre plus grand plaisir...) et leur relation est approfondie. C'est encore une des choses que j'ai beaucoup apprécié dans ce roman. Thorn et Ophélie continuent de se découvrir et cela donne des scènes touchantes.

Quant à l'histoire, elle est prenante, très prenante même. Les pages défilent toutes seules car on veut connaître la suite.
Quant à la fin, elle est inimaginable. Et l'attente du troisième tome va être longue.


En bref :
Un deuxième tome qui nous tient en haleine de la première à la dernière ligne.




COUP DE COEUR



Challenge de l'Imaginaire : lecture 9/36



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