Edition : Robert Laffont, Collection R433 pages
4ème de couverture :
Six prétendantes d'un côté, six prétendants de l'autre. Six minutes pour se rencontrer. Ils sont six filles et six garçons, dans les deux compartiments séparés d'un même vaisseau spatial. Ils ont six minutes chaque semaine pour se séduire et se choisir, sous l'oeil des caméras embarquées. Ils sont les prétendants du programme Genesis, l'émission de speed-dating la plus folle de l'Histoire, destinée à créer la première colonie humaine sur Mars. Léonor, orpheline de dix-huit ans, est l'une des six élues. Elle a signé pour la gloire. Elle a signé pour l'amour. Elle a signé pour un aller sans retour. Même si le rêve vire au cauchemar, il est trop tard pour regretter.
Mon ressenti :
J'arrive un peu après la bataille avec cette lecture car elle a fait grand bruit à sa sortie, encore plus à la sortie du tome 2. Quant aux différents avis que j'ai pu lire ou voir, c'était soit un gros coup de cœur soit une grosse déception. Bref, il était temps de le lire pour savoir ce que ce petit avait dans le ventre.
J'ai eu beaucoup de mal à entrer dans l'histoire. Il m'a fallu 150 pages pour vraiment être intéressée. Et 150 pages, c'est long. Mais elles étaient nécessaires pour poser les bases de la série.
Car une fois dépassé ce stade, j'ai littéralement dévoré les 300 pages restantes et j'ai adoré cette histoire.
Celle-ci nous est raconté de plusieurs points de vue. Celui de Leonor, d'abord, une des prétendantes, puis celui d'un narrateur omniscient qui nous donne, indice après indices les clés de la machination du programme Genesis.
Les personnages sont certes, un peu caricaturaux (la gentille blonde, le beau gosse bien foutu, le geek...) mais je me suis laissée prendre au jeu du speed-dating et, à ma grande surprise, à être finalement une spectatrice un peu voyeuse de cette télé réalité hors norme.
Quant à la fin, elle nous laisse avec l'envie d'ouvrir le second tome dans la minute.
Quant à la fin, elle nous laisse avec l'envie d'ouvrir le second tome dans la minute.
En bref :
Il me faut la suite !
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